Sawat-dii khâ,
Beaucoup de route aujourd’hui, pour arriver jusqu’à Chang Mai.
Arrêt à Lampang pour visiter le Wat Phra That Lampang Luang. Dès notre arrivée nous sommes impressionnés par son grand escalier flanqué de deux longs nagas blancs (serpent mythique à une ou cinq têtes). Tout est en teck sculpté et doré, d’anciennes peintures (15° siècle) représentant la vie de Bouddha, subsistent.
Le gouvernement ne finance pas les temples et ses réparations, alors une kyrielle d’activités est proposée aux pèlerins pour quémander des dons. Comme nous l’avions fait à Bangkok, en marquant une tuile à notre nom, nous avons aujourd’hui, signé sur un immense tissu orange qui recouvrira le chedi (tour pour les reliques). Des prédictions se lisent d’après des numéros sortis en agitant une boite de bâtonnets. Des bâtons mesurent notre envergure avant et après le vœu, l’envergure est sensée changée après la prière. On peut également soulever une statue avec le petit doigt. Il est possible de donner des billets de banque directement dans des troncs ou de les accrocher après une corde qui sera montée tout en haut de la pointe du cheddi, formant ainsi une guirlande de billets. Pour formuler leurs voeux ou pour remercier, on offre au temple des statues de Bouddha ainsi que d’innombrables clochettes, qui seront fondues pour réaliser une grosse cloche. Nous détaillons des paravents offerts en remerciement, réalisés exclusivement en graines (riz, maïs, blé, café.....) qui ont représenté beaucoup d’heures de travail minutieux.
Devant le temple de la vache, on offre des miniatures et des statues de l’animal. A l’extérieur, un banian coloré de rubans est supporté d’étais de bambous. Cet arbre sacré ne doit pas tomber. Même ces bambous sont gravés au nom des personnes qui les ont offerts.
Une statue de Bouddha nous surprend, c’est une femme, pour les vœux de maternité, car Bouddha peut prendre l’apparence qu’il veut.
Un peu plus loin, un temple rénové, tout de rouge et d’or, est gardé sur son fronton par un Garuda (animal mythique mi-homme mi-aigle).
Puis nous visitons le Wat Phra Kaeo Don Tao. Son chedi est recouvert d’or et de mosaïques de verre, de style birman. Les birmans sont restés à peu près deux cents ans et ont imposé leur style. Là aussi, des nagas encerclent le pont, tout de rouge et d’or. A l’extérieur, nous dérangeons une classe de moines attentifs à leur professeur. A côté leur linge jaune et orange, sèche. Dans ce lieu, une université peut accueillir jusqu’à 10 000 moines ! Le jour du nouvel an bouddhiste aura lieu cette année en avril. A cette occasion, des travaux se font sur presque tous les sites, peintres, menuisiers et maçons sont à l’oeuvre.
Demain, route vers le camp d’éléphants de Mae Sa, pour leur bain, mais cela sera une autre histoire.
Lah-gone
Nos photos sur la galerie. http://crazyappfactory.com/worldwide/index.php et choisissez le jour désiré.
Beaucoup de route aujourd’hui, pour arriver jusqu’à Chang Mai.
Arrêt à Lampang pour visiter le Wat Phra That Lampang Luang. Dès notre arrivée nous sommes impressionnés par son grand escalier flanqué de deux longs nagas blancs (serpent mythique à une ou cinq têtes). Tout est en teck sculpté et doré, d’anciennes peintures (15° siècle) représentant la vie de Bouddha, subsistent.
Le gouvernement ne finance pas les temples et ses réparations, alors une kyrielle d’activités est proposée aux pèlerins pour quémander des dons. Comme nous l’avions fait à Bangkok, en marquant une tuile à notre nom, nous avons aujourd’hui, signé sur un immense tissu orange qui recouvrira le chedi (tour pour les reliques). Des prédictions se lisent d’après des numéros sortis en agitant une boite de bâtonnets. Des bâtons mesurent notre envergure avant et après le vœu, l’envergure est sensée changée après la prière. On peut également soulever une statue avec le petit doigt. Il est possible de donner des billets de banque directement dans des troncs ou de les accrocher après une corde qui sera montée tout en haut de la pointe du cheddi, formant ainsi une guirlande de billets. Pour formuler leurs voeux ou pour remercier, on offre au temple des statues de Bouddha ainsi que d’innombrables clochettes, qui seront fondues pour réaliser une grosse cloche. Nous détaillons des paravents offerts en remerciement, réalisés exclusivement en graines (riz, maïs, blé, café.....) qui ont représenté beaucoup d’heures de travail minutieux.
Devant le temple de la vache, on offre des miniatures et des statues de l’animal. A l’extérieur, un banian coloré de rubans est supporté d’étais de bambous. Cet arbre sacré ne doit pas tomber. Même ces bambous sont gravés au nom des personnes qui les ont offerts.
Une statue de Bouddha nous surprend, c’est une femme, pour les vœux de maternité, car Bouddha peut prendre l’apparence qu’il veut.
Un peu plus loin, un temple rénové, tout de rouge et d’or, est gardé sur son fronton par un Garuda (animal mythique mi-homme mi-aigle).
Puis nous visitons le Wat Phra Kaeo Don Tao. Son chedi est recouvert d’or et de mosaïques de verre, de style birman. Les birmans sont restés à peu près deux cents ans et ont imposé leur style. Là aussi, des nagas encerclent le pont, tout de rouge et d’or. A l’extérieur, nous dérangeons une classe de moines attentifs à leur professeur. A côté leur linge jaune et orange, sèche. Dans ce lieu, une université peut accueillir jusqu’à 10 000 moines ! Le jour du nouvel an bouddhiste aura lieu cette année en avril. A cette occasion, des travaux se font sur presque tous les sites, peintres, menuisiers et maçons sont à l’oeuvre.
Demain, route vers le camp d’éléphants de Mae Sa, pour leur bain, mais cela sera une autre histoire.
Lah-gone
Nos photos sur la galerie. http://crazyappfactory.com/worldwide/index.php et choisissez le jour désiré.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire