Retour

Notre voyage a commencé le 28 juillet 2011 et s'est terminé un an plus tard, le 28 juillet 2012.
Afin d'être informé de nos nouveaux articles, enregistrez-vous à "Follow by e-mail" au bas de la colonne de droite.

samedi 13 août 2011

Campeche - Mexique

Aujourd’hui, journée plage pour les Bidochons.

Etant donné que l’un des Bidochons s’est rétamé dans les graviers, nous préférons faire une journée soft, de repos, du moins, c’est ce que l’on pensait ...

Maillots de bains, serviettes, chapeaux, lunettes, tout l’attirail est prêt. Même un bandage tout neuf ! Nous voilà partis bringue ballants vers de nouvelles aventures !

1ère épreuve de choc : trouver la plage à travers l’ex village de pirates, devenu aujourd’hui port pétrolier et marchand. La côte n’a rien de celle qu’a connu BB. Nous arrivons enfin, au bout d’une route à une guitoune qui accueille les futurs baigneurs, 5 pesos pour la voiture et la Playa Bonita est à nous !

2ème épreuve : garer le véhicule à l’ombre pour garantir un peu de fraicheur. Cette épreuve a été censurée et a été jugée ridicule du fait de la chaleur ambiante.

3ème épreuve et pas des moindres : trouver une place à l’ombre sur la plage. Epreuve réussie pour 20 pesos. Nous avons eu une espèce de parasol-kiosque en bois et en feuilles de bananiers au bord de l’eau. Les Bidochons s'installent tant bien que mal sous l’ombre de ce saint graal protecteur. Le sac à dos familial se vide et se remplit au rythme des petites mains désireuses, chacun a quelque chose à prendre ou à poser. Papa Bidochon va louer 4 chaises blanches en plastique, accessoire indispensable de l’été mesdames et messieurs !

4ème épreuve : se mettre à l’eau. Nous entamons donc un strip tease familial, les peaux blanches, les nez fragiles et les épaules à coup de soleil s’exposent dangereusement. Les Bidochons n’ont peur de rien ! Nous passons donc à côté du stand des secouristes-militaires-policiers-marines-pistolets-couteaux-à-la-ceinture pour arriver dans une eau à 28°C d’après la science bidochonne. Mais, une fois dans l’eau, nous nous apercevons que nous sommes les seuls à être en maillots. Vous vous demanderez surement pourquoi,
réponse A : c’est une plage nudiste
réponse B : ils sont tous habillés dans l’eau
Je vous laisse le suspense.
Réponse B. Ces mexicains là ne se mettent pas en maillots ! Ils se baignent en t-shirt et en pantalon, ou en bermuda, ou en jupe, short, jogging, robe, chemise, avec la ceinture ou pas. De plus en plus bizarres. Les Bidochons se font déjà remarquer.

5ème épreuve : sortir de l’eau et se poser à l’ombre. De nouveau le stand des secouristes-militaires-machin-machin. Grâce à leurs super serviettes microfibres de chez Décathlon (leur magasin préféré), les Bidochons se sèchent en moins de deux et s’installent sur leurs fauteuils en plastique. Quel glamour sur la côte ! Tout allait bien, le soleil grillait les feuilles de bananiers au dessus de nos têtes. Et oui, pas si fous les Fols ! Quelques paroles échangées, le bobo protégé du vent et ...
Un immense goéland, accompagné de cormorans et d’autres oiseaux, plana au dessus de nos têtes. En bons touristes, les Bidochons s’émerveillèrent devant cette envergure impressionnante, papa Bidochon se transforma en Nelson Monford et décrivit les manoeuvres, proches de celles de l’aviation militaire, des grands oiseaux.

Dernière épreuve : rentrer sains et saufs à l'hôtel pour une douche bien méritée. Mission réussie bien entendu.

Bonne nuit les petits, Viviane.
J’avais déjà photographié un hôpital, et aujourd’hui, vous pouvez voir dans la galerie, une pharmacie qui vend : un peu de médicaments, mais surtout :
. des boissons gazeuses, et des glaces, à l’entrée dans les glacières,
. des bombons, chocolats, chewing-gum, barres de céréales, et autres ... pleins de sucres et de colorants,, dans presque autant de vitrines que celles pour les médicaments,
. et des cigarettes sur un présentoir-facing à côté de la caisse, pour ne pas oublier !!!!


Pour regarder les photos du jour, allez dans : http://gallery.me.com/denisfol/100137
ne cherchez pas les photos des goélands et des cormorans, ils passaient trop vite, foi de Bidochon.